Zones de conflit : 5 métiers peu connus mais essentiels en 2025
- Vanessa Bérangère
- il y a 4 jours
- 3 min de lecture

🔎 Sommaire :
1. Pourquoi aller travailler en zone de conflit ?
Cela peut sembler fou. Et pourtant, chaque année, des milliers de professionnels partent travailler dans des zones dites “à risque” : guerre, instabilité politique, catastrophes naturelles. Pas pour l’aventure, mais pour des raisons humaines, diplomatiques ou stratégiques. Ces métiers ne sont pas toujours sous les projecteurs, mais ils sont indispensables. Et certains ados en quête de sens pourraient bien y trouver leur voie.
Mais quels sont ces 5 métiers peu connus en zone de conflit ?
2. Quelles sont les zones de conflit en 2025 ?
Ukraine (conflit toujours actif dans l'Est)
Israël – Territoires palestiniens, zone toujours sous tension
Birmanie : tremblement de terre en mars 2025 (plus de 3000 morts) et dirigé par une junte militaire
Certaines zones d’Afrique subsaharienne (Mali, RDC…)
Haïti, en crise sécuritaire majeure
Afghanistan, instable malgré les tentatives d’organisation
Ces zones demandent des renforts humains extérieurs dans plusieurs secteurs.
3. Top 5 des métiers peu connus en zone de conflit mais cruciaux
1. Coordinateur humanitaire
Salarié d’une ONG ou d’un organisme comme Médecins sans Frontières, il coordonne les équipes sur place. Ce rôle requiert un grand sang-froid, une capacité à prioriser, et une vraie résistance mentale.
2. Journaliste de guerre
Peu nombreux, ils prennent des risques considérables pour informer. Les écoles comme le CFJ ou ISCPA permettent de se spécialiser. Voir cette vidéo très intéressante :
3. Officier de sécurité dans les ambassades
Souvent rattaché au ministère des Affaires étrangères. Voir les recrutements sur France Diplomatie.
4. Ingénieur logistique d’urgence
Travaillant pour des structures comme Action contre la Faim ou Première Urgence Internationale, il gère les déploiements sur le terrain.
5. Psychologue de crise
Un métier encore peu connu, mais essentiel. Il intervient auprès des populations touchées ou des équipes elles-mêmes. Formation possible via un Master de psycho spécialisation "traumatismes" ou en passant par des structures comme l'Ecole des psychologues praticiens (EPP).
4. Compétences et formations pour ces métiers
Langues étrangères, notamment anglais, russe ou arabe (voir l'INALCO pour ces formations)
Formation en droit international, relations internationales, ou sciences politiques
Formations spécifiques aux écoles de journalisme, ONG ou sécurité
Les compétences pour ces 5 métiers en zone de conflit sont : Capacité à résister au stress, à vivre en collectivité, et à faire preuve d’adaptabilité
Certaines écoles et ONG proposent des stages sur le terrain, notamment dans des zones post-catastrophes naturelles ou instables politiquement.
5. Travailler dans une zone à risque : ce qu’il faut savoir
Les conditions de vie sont dures : sécurité limitée, isolement, climat extrême…
Les contrats sont souvent temporaires, parfois quelques mois seulement
Le salaire dépend de la mission, mais certains postes ONG ou ambassades peuvent atteindre 2500 à 4000 € net/mois, avec indemnités et avantages selon le poste et la zone
Il faut aussi savoir gérer l'après, car beaucoup reviennent changés par l’expérience.
Conclusion : des vocations qui changent le monde
Peu d’ados pensent à ces métiers-là, mais certains sont faits pour. Curieux du monde, résilients, humains : ces profils-là sont précieux. Et s’ils vous en parlent, écoutez-les.
N’hésitez pas à me contacter via le chat ou whatsapp pour un premier échange gratuit et sans engagement : c’est le meilleur moyen de voir si ma méthode vous convient, tout simplement.
Vanessa Bérangère
© Tous droits réservés. Vous pouvez copier et partager cet article à condition de citer l'auteur Vanessa Bérangère et la source www.vanessaberangere.com
👉Votre ado est-il prêt pour ses oraux d'admission ?
👉Ma méthode : Voir ici
👉Mes services : C'est par ici
Comments